Et les vivants autour
Une femme dans le coma. Un choix impossible. Une famille déchirée. Depuis quatre ans, depuis l'accident de voiture, le choc, le précipice, Jeanne n'est plus qu'un corps inerte. Allongé, intubé, ventilé, végétant dans le coma. Ce trou noir pour l'instant sans issue a happé sa vie et celles de ses proches. Gilbert et Micheline, ses parents. Charlotte, sa sœur. Jérôme, son mari. Tous suspendus au rythme des machines qui maintiennent Jeanne en vie. Chacun accroché à la plus petite lueur d'espoir. Mais l'état de Jeanne est stationnaire, sans aucune amélioration notable. Alors, quand le professeur Goossens demande à leur parler, ils craignent le pire. Ils sont pourtant loin de pouvoir imaginer ce qui les attend. " On craint le pire. À raison... On découvre un événement inattendu, qui cueille à froid même les plus férus lecteurs de thrillers. "
Feu : roman
Laure, prof, est mariée, mère de deux filles et propriétaire d'un pavillon. À 40 ans, elle a parfois l'impression d'être la somme non pas de ses désirs, mais de l'effort et du compromis. Clément, célibataire, 50 ans, s'ennuie dans un bureau vitré, lassé de la vue qu'il offre autant que de YouPorn. Laure envie, quand elle devrait s'en inquiéter, la rage militante de sa fille aînée. Clément n'envie personne, sinon son chien. De la vie, elle attend la surprise. Il attend qu'elle finisse. Saisis par la passion et ses menaces, ils tentent de se débarrasser l'un de l'autre en assouvissant le désir… convaincus qu'il se dompte.Dans une langue nerveuse et acérée, Maria Pourchet nous offre un roman vif, puissant et drôle sur l'amour, cette affaire effroyablement plus sérieuse et plus dangereuse qu'on ne le croit.Renversant. Une stupéfiante vivacité. Le Monde des livres.Derrière sa belle allure cynique, ce texte est plein de sanglots. Maria Pourchet rappelle avec un talent brûlant que l'amour est une affaire de vie et de mort. Le Journal du dimanche.
Humus
Deux étudiants en agronomie, angoissés comme toute leur génération par la crise écologique, refusent le défaitisme et se mettent en tête de changer le monde. Kevin, fils d'ouvriers agricoles, lance une start-up de vermicompostage et endosse l'uniforme du parfait transfuge sur la scène du capitalisme vert. Arthur, enfant de la bourgeoisie, tente de régénérer le champ familial ruiné par les pesticides mais se heurte à la réalité de la vie rurale. Au fil de leur apprentissage, les deux amis mettent leurs idéaux à rude épreuve. Du bocage normand à la Silicon Valley, des cellules anarchistes aux salons ministériels, Gaspard Koenig raconte les paradoxes de notre temps - mobilité sociale et mépris de classe, promesse de progrès et insurrection écologique, amour impossible et désespoir héroi[u0308]que... Une histoire de terre et d'hommes, dans la grande veine de la littérature réaliste
J'apocalypse grave !
La nouvelle aventure de Mortelle Adèle qui apocalypse grave ! "Oh là là, et dire que c'était sous vos yeux depuis tout ce temps et que vous n'avez rien vu...C'est un secret que j'ai décidé de partager avecvous aujourd'hui ! Oui, maintenant, tout de suite ! Après vous n'aurez plus aucun doute : Moi, j'apocalypse grave !" Mortelle Adèle, reine incontestée des bêtises, ne manque pas d'imagination quand il s'agit d'étendre les limites de l'impossible ! Et pourquoi s'accommoder d'une seule réalité, quand on peut être l'héroïne la plus mortelle de toutes les dimensions'Alors accrochez-vous et embarquez avec votre Bizarre préférée, c'est LE décollage que vous ne voudriez pas rater !
L'arrivée : de Constantine à Paris, 1962-1972
L'homme des mille détours
L'un rêve de fonder une famille. L'autre a fui toute attache. Tous deux se sont rencontrés au milieu de l'océan Indien et, sans rien savoir de leurs secrets, se sont liés d'amitié. Quand le premier décide de regagner la France, le second lui demande une étrange faveur : se rendre à Saint-Malo et lui donner des nouvelles de celle qu'il a abandonnée sept ans plus tôt sans laisser de traces... Des liens du sang aux liens du coeur, l'odyssée d'une famille
L'invention des cafés parisiens : du limonadier au bistro, du bougnat au bar américain, le café parisien dans tous ses états, son patron, sa patronne, ses garçons et ses habitués, moka, chocolat, punch, bière et absinthe, jeux, spectacles, lecture et conversation, refaire le monde en salle, le contempler en terrasse
Symbole parmi les plus marquants de Paris, les cafés n'y ont pas toujours existé. C'est dans la seconde moitié du XVIIe siècle qu'ils apparaissent, alors que les limonadiers ajoutent à leur carte la boisson venue d'un Orient qui fascine les Occidentaux. Accueillant une clientèle aisée, le café parisien se distingue des maisons de café européennes par l'interdiction d'y fumer et le luxe de sa décoration. On y joue, on y écrit, on y lit... et on ne tarde pas à y discuter politique ; c'est du café de Foy, au Palais-Royal, qu'est lancé l'assaut de la Bastille en juillet 1789. Combiné au début du XIXe siècle avec le nouveau venu qu'est le restaurant, le café-restaurant trouve sa formule et le succès. Il se diversifie par la suite pour mieux répondre à toutes les attentes. Son histoire, ses pratiques, ses fréquentations comme les trajectoires de ceux qui y travaillent ouvrent autant de fenêtres sur la société parisienne depuis plus de trois siècles
L'odyssée du sacré : la grande histoire des croyances et des spiritualités des origines à nos jours
Depuis son apparition, Homo sapiens ressent effroi et admiration devant la puissance de la Nature et s'interroge sur l'énigme de son existence. De ce sentiment du sacré sont nés tous les grands courants spirituels et religieux du monde. Pourquoi sapiens est-il aussi un Homo spiritus : le seul animal qui cherche à donner du sens à sa vie, pratique des rituels funéraires, invente de grands récits collectifs et croit bien souvent en des forces invisibles'Frédéric Lenoir tente de répondre à ces questions essentielles et montre, au fil de ce voyage dans le temps, la corrélation entre les grandes révolutions spirituelles et les bouleversements des sociétés humaines : de la sédentarisation au monde connecté, en passant par la naissance des cités, des civilisations, des empires et de la modernité. Après le succès international de Sapiens de Yuval Noah Harari, ce livre de Frédéric Lenoir, fruit de plus de trente années de recherches, nous raconte, dans un langage simple et accessible, la prodigieuse histoire d'Homo spiritus et du sacré, de la Préhistoire à nos jours
La capucine - Les filles du siècle
Si son patron ne la battait pas, si elle était justement payée, si on ne lui comptait pas son assiette et son lit, Louise adorerait la terre sur laquelle elle travaille. Une terre incroyablement fertile, qui peut donner huit récoltes par an ! Qui exporte ses légumes jusqu'à Londres, et même jusqu'en Russie.... Une terre qui n'est qu'à une dizaine de kilomètres de Paris, sur un petit village de maraîchers nommé Bobigny. Le jour où vient la raclée de trop, Louise s'enfuit. Direction Paris, où vivent et travaillent sa mère Clémence, et son indéfectible protectrice, Bernadette, génie de la cuisine et de la voyance réunies. Mais Louise a treize ans, et à cet âge, même si l'on rêve de liberté, encore faut-il gagner sa vie..
La danseuse : roman
"La danseuse arrivait, le matin, à sept heures quarante-cinq, gare du Nord. Ensuite le métro jusqu'à la place de Clichy. Le bâtiment du studio Wacker était vétuste. Au rez-de-chaussée, une dizaine de pianos d'occasion, rangés en désordre comme dans un dépôt. Aux étages, une sorte de cantine avec un bar et les studios de danse. Elle prenait des cours avec Boris Kniaseff, un Russe que l'on considérait comme l'un des meilleurs professeurs... Une odeur particulière de vieux bois, de lavande et de sueur."
La fête des mères : roman
Une famille de la haute bourgeoisie versaillaise dans les années soixante : la vipère parfumée à L'Heure bleue, c'est la mère. Le père banquier est absent, les quatre frères se détestent. Ou bien ils s'aiment un peu, beaucoup. Ils ont faim car la mère ne veut pas qu'ils mangent. Ils ne sentent pas bon car elle leur interdit l'eau chaude, et puis à peu près tout, sauf la confession. Jacques se rebelle. Il refuse de faire sa communion solennelle et tombe gravement malade. Il veut vivre. Ce n'est pas si facile. Il faut se battre contre la maladie, contre le sort. Il faut garder l'espoir, attendre l'amour qui guérit tout. Pour accomplir ce miracle, Jacques a deux talismans : un trèfle à cinq feuilles et une graine de haricot. Quarante ans plus tard, il raconte son histoire
La France d'après : tableau politique
Comment fixe-t-on son choix électoral dans cet Archipel qu’est devenue la France ? De quel poids pèsent les singularités individuelles au regard des variables sociales et de l’environnement géographique'Vers quel type de dessein collectif les nouveaux déterminants du vote nous conduisent-ils ? Pour brosser le tableau politique de la France d’après, Jérôme Fourquet a une nouvelle fois arpenté le territoire, collecté des données statistiques, dressé des cartes et tracé des graphiques repérant les facteurs contextuels qui, aujourd’hui, façonnent le vote. Mais au-delà de ces variables collectives, il a pris la mesure du poids qu’acquièrent les déterminants individuels (niveau de diplôme, profession, âge) à mesure que l’ « archipélisation » progresse. Et pour en rendre compte, le sondage d’opinion s’avère particulièrement pertinent : son usage, complémentaire de l’approche géographique, fait ici merveille, l’auteur réalisant en quelque sorte l’alliance de « la carte et du camembert».
La symphonie des monstres : roman
Veronika est de ces femmes qui résistent même dans les pires moments. On ne choisit pas d'être infirmière si on accepte la défaite... Sa solitude, elle l'a apprivoisée. Dompter la peur, c'est autre chose. En rentrant chez elle un soir, Veronika découvre la disparition de son fils âgé de neuf ans. Désemparées, elle et sa fille Lilya cherchent à comprendre où Valentyn a été emmené. Elles vont remuer ciel et terre pour retrouver la trace du petit garçon - l'une animée par sa témérité d'adolescente, l'autre par sa détermination de mère. Mais l'ennemi est partout, et Lilya et Veronika ne pourront se fier à personne... ou presque. Ensemble, elles vont tenter de déjouer " la Symphonie des monstres ", un projet bien plus terrifiant qu'une fiction. Au cours d'une aventure peuplée de personnages inoubliables, une mère et sa fille vont réapprendre à se connaître et à s'aimer.
Le château des rentiers
En levant les yeux vers le huitième étage d'une tour du XIIIe arrondissement de Paris, Agnès rejoint en pensée Boris et Tsila, ses grands-parents, et tous ceux qui vivaient autrefois dans le même immeuble. Rue du Château des Rentiers, ces Juifs originaires d'Europe centrale avaient inventé jadis une vie en communauté, un phalanstère...
Le passeur de la lagune
Paolo et son père, pêcheur, vivent sur l'île de la Giudecca, à Venise. Le jour où ce dernier disparaît mystérieusement, l'adolescent, qui vient d'intégrer un réseau de trafic de drogue de synthèse, fait rapidement le lien entre la disparition de son père et l'organisation mafieuse qui l'emploie. Prix Cognac du meilleur album de BD (one shot, dyptique) 2023
Le Père Noël perd la boule
Le pharaon, le sauvage et la princesse
Les mots ont des oreilles
Si les mots ont des oreilles, c'est pour nous entendre rire ! Embarquez dans l'aventure avec Daniel Pennac et Florence Cestac. Pour rire on dit aussi : Rigoler, se poiler, se bidonner, se boyauter, s'esclaffer, se gondoler, se fendre la pêche, la poire, la pipe, la tirelire, s'en payer une tranche. On rit aux larmes, on rit à se tenir les côtes, à gorge déployée, à se rouler par terre, à faire pipi dans sa culotte. On rit comme une baleine, on rit comme un bossu, on rit comme un fou. On pleure de rire, on se tord de rire, on explose de rire, on peut mourir de rire. On peut même être mort de rire et continuer à rigoler. Voilà les expressions qu'utilisent nos corps quand ils s'amusent. En tout cas ceux de Florence Cestac et de Daniel Pennac. Pas les vôtres ? EXTRAITS CHOISIS : "Alors, là, je ne vois absolument pas comment on peut faire ses devoirs les doigts dans le nez ! Tu t'imagines, écrire une rédac les doigts dans le nez ? Et à l'oral, répondre au prof les doigts dans le nez ? Et faire de la gym les doigts dans le nez ?" "À propos de mots et d'images, l'autre soir tante Mogne a mis les pieds dans le plat. Et c'était bien dommage parce que Morello et Anna nous avaient fait un bon couscous." "Quand Robert était petit et qu'il venait jouer à la maison il connaissait déjà des tas de mots que nous ignorions. –; Je suis un vrai dictionnaire, disait-il. –; Dis donc, tu as les chevilles qui enflent ou quoi ?"
Monsieur Proust
Le roman graphique de Monsieur Proust, classique maintes fois réédité, à l'occasion du centenaire de la mort de l'écrivain. Céleste Albaret a été la gouvernante de Marcel Proust de 1913 à sa mort, en 1922. Tout juste arrivée de sa Lozère natale pour retrouver à Paris son mari, le chauffeur de Proust, elle entra au service de l'écrivain pour de menues tâches, et finit par lui dédier son existence, épousant sa vie de reclus jusqu'à participer matériellement à l'élaboration d'À la recherche du temps perdu (prenant des notes sous la dictée, collant ses ajouts sur les fameux " béquets "). Celle qui inspira le personnage de Françoise dans La recherche veillera sur Proust jusqu'à la fin. Avec l'aide de Georges Belmont, qui recueillit et mit en forme ses souvenirs, elle publia Monsieur Proust en 1973, élevé depuis au rang de livre culte. Ce témoignage émouvant est un document unique sur la vie quotidienne de Proust lors de ses dernières années et sur les conditions dans lesquelles il écrivit son œuvre. Au fil d'une adaptation qui offre la quintessence du texte de Céleste et par la grâce des dessins de Stéphane Manel, nous nous introduisons à la suite de la jeune femme dans l'intimité du boulevard Haussmann et de la rue Hamelin pour découvrir l'invraisemblable cérémonial des jours et des nuits de Proust. De la cuisine à la chambre de liège, nous sommes les témoins des routines (fumigations, préparation du café, etc.), mais aussi des visites, des sorties et du monumental chantier de l'écriture...Tout prend vie dans cet ouvrage qui livre les clés sensorielles de ce monde à l'envers dont Proust fit son royaume, un monde où les frontières entre réalité et fiction étaient délibérément brouillées.
Paris, ces photos qui racontent l'histoire
Proust, roman familial
Toute mon adolescence, j'ai entendu parler des personnages d'A la recherche du temps perdu, persuadée qu'ils étaient des cousins que je n'avais pas encore rencontrés. A la maison, les répliques de Charlus, les vacheries de la duchesse de Guermantes se confondaient avec les bons mots entendus à table, sans solution de continuité entre fiction et réalité. Car le monde révolu où j'ai grandi était encore celui de Proust, qui avait connu mes arrières-grands-parents, dont les noms figurent dans son roman. J'ai fini, vers l'âge de vingt ans, par lire la Recherche. Et là, ma vie à changé. Proust savait mieux que moi ce que je traversais. Il me montrait à quel point l'aristocratie est un univers de formes vides. Avant même ma rupture avec ma propre famille, il m'offrait une méditation sur l'exil intérieur vécu par celles et ceux qui s'écratent des normes sociales et sexuelles. Proust ne m'a pas seulement décillée sur mon milieu d'origine. Il m'a constituée comme sujet, lectrice active de ma propre vie, en me révélant le pouvoir d'émancipation de la littérature, qui est aussi un pouvoir de consolation et de réconciliation avec le Temps
Sarah, Susanne et l'écrivain
Sarah, Susanne et l'écrivain : roman
Sarah a confié l'histoire de sa vie à un écrivain qu'elle admire, afin qu'il en fasse un roman. Dans ce roman, Sarah s'appelle Susanne. Au départ de ce récit, Susanne ne se sent plus aimée comme autrefois. Chaque soir, son mari se retire dans son bureau, la laissant seule avec leurs enfants. Dans le même temps, elle s'aperçoit qu'il possède soixante-quinze pour cent de leur domicile conjugal. Troublée, elle demande à son époux de rééquilibrer la répartition et de se montrer plus présent, en vain. Pour l'obliger à réagir, Susanne lui annonce qu'elle va vivre ailleurs quelque temps. Cette décision provoquera un enchaînement d'événements aussi bouleversants qu'imprévisibles[xe2][x80][xa6] Réflexion sur le lien troublant et mystérieux qui peut apparaître entre lecteurs et écrivains, ce roman puissant, porté par la beauté de son écriture, fait le portrait d'une femme qui cherche à être à sa juste place, quelque périlleux que puisse être le chemin qui y mène
Silhouette
Dossier pédagogique d'Aurélie Lagadec. Pauline découvre que son acteur préféré est en tournage près de chez elle et répond à une annonce de casting pour être « silhouette ». Guillaume s'apprête à partir en colonie de vacances mais se rend compte qu'il a laissé son chat enfermé dans sa chambre… À l'aube de sa mort, monsieur Duc souhaite demander pardon à toutes les personnes à qui il a fait du mal… À travers toute une galerie de personnages ordinaires, Jean Claude Mourvelat propose dans ce recueil de dix nouvelles aux chutes surprenantes, une réflexion empreinte d'humour noir sur la cruauté de la vie. Groupements de textes : 1. Nouvelles cruelles 2. Regards satiriques sur la société
Toutes les femmes sauf une : récit
Dans une maternité, une femme épuisée. Elle vient d'accoucher d'une fille, Adèle, et contemple le berceau, entre amour, colère et désespoir. Quelque chose la terrifie : la loi de la reproduction. De génération en génération, les femmes de sa lignée transportent la blessure de leur condition dans une chaîne sans merci où chacune « paye l'ardoise » de la précédente. Elle le sait, elle est faite de l'histoire et de la douleur de ses aînées. Mais elle voudrait que ça s'arrête. Qu'Adèle soit neuve, libre.Alors comme on vide les armoires, comme on nettoie, elle raconte. S'adressant au bébé, elle explore la fabrique silencieuse de la haine de soi qui s'hérite aussi bien que la vaisselle. Défiance du corps, diabolisation de la séduction, ravages discrets de la jalousie mère-fille… Elle offre à Adèle un portrait tourmenté de la condition féminine, où le tort fait aux femmes par les femmes apparaît dans sa violence ordinaire.En mettant à nu, rouage après rouage, la mécanique de la transmission, elle pourrait bien parvenir à la détruire.Un livre âpre et direct. Marine Landrot, Télérama.Un texte frappant sur la maternité, la transmission et le langage. Raphaëlle Leyris, Le Monde des livres.Prix SGDL Révélation 2018.